Le droit international humanitaire en tant qu’instrument de protection des personnes

Les nombreuses violations du droit international humanitaire (DIH) commises ces dernières années ont amené certains à douter de son efficacité. Pourtant, ce droit continue à régir les comportements dans les conflits armés et à protéger les populations en imposant des limites à la conduite des hostilités.

L’année 2019 a marqué le 70e anniversaire de l’adoption des Conventions de Genève de 1949, qui sont universellement ratifiées. La XXXIIIe Conférence internationale était donc une occasion opportune pour ses membres de réaffirmer leur attachement au DIH et leur volonté d’œuvrer à la mise en œuvre et à l’application complètes de ce droit, en particulier au niveau national.

Une journée entière a été consacrée au DIH pendant la Conférence. Les participants ont eu des discussions constructives et concrètes, échangé leurs points de vue, appris les uns des autres et instauré un dialogue utile sur des questions essentielles liées au respect et à la mise en œuvre du DIH. Vous trouverez ci-dessous de plus amples informations sur la commission de DIH.
 
Documents associés :
• Résolution 1, « S’approprier le DIH : Feuille de route pour améliorer la mise en œuvre nationale du droit international humanitaire » et le document de référence correspondant (33IC/19/12.1)

La commission de DIH a consisté en deux séances plénières (ouverture et clôture) et cinq séances thématiques, détaillées ci-dessous.